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Period: to
L’UEM est un obj de la diplo fr depuis 69; concession obtenue à Str : HK lors du déjeuner des Douze approuve le projet de CIG fin 90 quelques soient les travaux préparatoires
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L’accord de principe de l’Allemagne à l’UEM remonte au sommet de Hanovre; Kohl favorable dès avant la chute du mur mais FM souhaite que ce projet soit mené à son terme pas comme le plan Werner (1970)
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Sommet européen de Strasbourg; FM partage sans doute les appréhensions de MT ca il lui propose une entente étroite pour “tenir en respect le mastodonte allemand”
comme “aux heures de grand danger par le passé”, “car il avait l’impression que nous étions revenus à une de ces heures-là”; mais il n’entend pas s’opposer directement aux Allemands; car il tient à préserver l’axe franco-allemande -
FM reçoit Oskar Lafontaine le favori des sondages
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(20-22 juin 1989)
FM se rend à Berlin-Est rencontrer les chefs communistes -
(26-27 juin 1989)Compromis au sommet de Madrid; Fm voulait accélérer le calendrier, Kohl était tiraillé à cause de sa volonté de stabilité monétaire, la GB voulait pas d’UEM complète.
France, inquiète, décide par la voix de FM d’accélérer le processus par la suite -
Déclaration favorable de FMitterrand sur la Réunification
"Je n'ai pas peur de la Réunification"; elle est légitime "s'ils le veulent et s'ils le peuvent" -
Roland Dumas donne un discours devant l'an pour exposer les orientations et les buts de la politique extérieure de la France
Discours sur "l'amour de la liberté" qu'exprime les pays du Pacte de Varsovie -
33 abstentions & 4 votes contre, 26 députés refusant dans une déclaration le bradage de 108000 km2 de terres allemandes
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(9-14 novembre) Visite de Kohl en Pologne, le mae polonais, Krzysztof Skubiszewski demande à ce que Kohl précise l'alinéa litigieux de son Programme en dix points
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L'ancien chancelier Helmut Schmidt et la comtesse Dönhoff (die Zeit) propose au CE un progr d'aide économique aux pays de l'Est
volonté d'ingérence allemande ? -
Réunion de l’Elysée; Kohl mesure la frilosité des Douze bien que le sujet de la R. ne soit pas explicitement à l’ordre du jour (Kohl craint un veto);
l’Elysée ne publie pas de communiqué officiel d’encouragement, associé aux Onze, pour soutenir la R. après la chute du mur -
24h avant l’annonce du plan en 10., FM reçoit une lettre de Kohl rappelant son engagement européen, prévoyant que se réunissent les CIG sur l’UEM (et aussi sur l’UP); mais repoussée d’un an à après les élections allemandes, pour éviter sanction électorale
FM doute de la bonne volonté de l’Allemagne -
plan en 10 point avec pour but des structures confédérales
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Présentation du plan en 10 . par Kohl devant le Bundestag, R. sous le mode confédéral envisagée
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Rencontre de Gorbatchev et FMitterrand à Kiev
"M. Gorbatchev se souvient que la Russie et la France ont à travers les siècles servi de point d'équilibre dans de graves moments de l'Histoire" -
Hans Modrow propose le projet d'une "communauté contractuelle", à laquelle HDG mae s'oppose
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Initiative de Kohl et Mitterrand avant le sommet européen de Dublin
Accélération de la construction européenne, projet de Traité de Maastricht -
(mi-février 1990) L'Elysée accepte le fait accompli et reconnaît l'unification "comme un fait partiellement accompli, que l'on conjugue enfin au futur")
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(février-mars 1990) Kohl lie la q° territoriale au fait que la Pologne a renoncé à toutes réparations dans une déclarat° du 23 août 1953 à la RDA
La France se tend complètement -
Chevènement reprend l'idée confédérale à la veille des élections en RDA
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Renouvellement solennel de la charte européenne de 1975
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Réunion de Dublin
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Projet de confédérat° euro proposée par FM lor des voeux à l'Elysée
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Discours d'HK sur le "problème allemand et les responsabilités européennes", invité par le Bureau international de Liaison et de Documentation
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Proposition d’UEM allemande vue l’évolution des événements
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(10-11 février) Visite de Kohl à Moscou où Gorby accepte que la réunification se fasse selon les modalités définies par l'Acte final d'Helsinki de juillet 1975
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(13-14 février) Proposition d'union monétaire à HM et refus du prêt de 15 milliards
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Principe de la conférence “4+2” entériné Accélération fait faiblir le soutien des 11, tant qu’il n y a pas de reconnaissance de la ligne O
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L'Elysée s'irrite que Kohl refuse de faire progresser l'UEM au même rythme que la construct° euro, veille du sommet européen du 28 avril
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Debré déclare que "demain, il sera trop tard" dans le Figaro du jour
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FM reçoit Wojcieh Jaruzelski et son premier ministre Tadeusz Mazoiecki qui manifestent leur inquiétude quant à la décision ouest-allemande sur la frontière germano-polonaise
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La France fait tout pour que Varsovie soit associée aux négociations du 17 juillet
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ors de la signature du TUEM Kohl et de Maizière soulignent que “Nous voulons être des Européens allemands et des Allemands européens… Construisons l’Allemagne unie dans une Europe unie.”
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(avant le SE de Dublin)Bonn et Paris adressent un message commun au PM irlandais pour l’organisation d’un sommet d’une 2nde CIG sur l’UP “
afin d’accélérer la construction européenne et de transformer l’ensemble des relations entre Etats membres en une Union européenne avant le 1er janvier 1993” -
Initiative franco-all soumise au CE de Dublin; modestie des propositions allemandes car Kohl conscient que les opinions et les élites européennes ne sont pas prêtes pour l’Europe supranationale;
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1ère réunion à Bonn sur le Traité 2+4
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Kohl adresse une lettre à Mitterrand et Thatcher pour donner son impression générale, insistant que l’idée de compromis prévalant jusqu’à présent n’était plus tenable
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Plus que 15 députés à refuser le vote définitif de la frontière
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2e réunion à Berlin-Est sur le Traité 2+4
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la première étape de l’UEM peut commencer
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Period: to
sommet de l'OTAN de Londres;la doctrine militaire de l’alliance a été révisée : abandon de la riposte graduée et de la défense à l’avant, modification de la structure militaire des forces alliées et adoption d’un nouveau concept stratégique.
L’All participe activement à ces négos et s’affirme comme grand 2nd de l’alliance quand la France reste à l’écart. -
(15-16 juillet 1990) Rencontre entre Kohl et Gorby : l'Allemagne accepte de ne pas posséder une armée de plus de 370000 hommes
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Accord du Caucase entre Bonn et Moscou
Conviennent de la Réunification -
3e réunion à Paris sur le Traité 2+4
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Négo 2+4; l'Allemagne accepte l'Oder-Neisse comme une monnaie d'échange pour sa R.
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Signature à Moscou du Traité 2+4
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Kohl déclare dans un discours que “l’Allemagne est notre patrie, l’Europe unie est notre avenir.”
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Traité sur les frontières entre Allemagne et Pologne
L'Allemagne avec le changement de ses rapports avec l'URSS souhaite également un changement avec la Pologne -
Signature de la charte de Paris à l'issue de la conférence de la CSCE
Acte la fin de la Guerre froide au moment de la R. et de la fin du Pacte de Varsovie -
adresse de Paris et de Bonn au président de la Communauté pour que le Conseil européen devienne un organe permanent, doté de compétences élargies
Il exercerait la "fonction d'arbitre et de garant et de promoteur"
HK & FM veulent aussi étendre la politique commune extérieure et de sécurité à tous les domaines -
Initiative franco-allemande dans le cadre de l'unification politique de l'Europe
dans le cadre de la conférence des chefs d'Etats et de gouvernement des Douze -
(mai 1991) Véritable dossier de coopération France-Allemagne sur la Pologne
HDG, Krysztof Skubiszewski et Roland Dumas se réunissent à Weimar; résultat : proposition franco-allemande que la Pologne rejoigne l'UEO, ce qui a lieu en mai 1994 -
Opération française dans le cadre de l'ONU bénéficie du soutien logistique allemand
Protection des populations kurdes au Nord de l'Irak
Acheminement de l'aide humanitaire en Somalie et protection des civils de Bihac en Bosnie -
Alija Izetbegovic, champion des musulmans de Bosnie, a interpellé Kohl pour le prévenir que sa reconnaissance prématurée de la Croatie et de la Slovénie entraînerait, vraisemblablement, un embrasement et un éclatement de la Bosnie-Herzégovine
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déclaration Genscher-Dumasavait entériné la prise de conscience par la France et l’Allemagne de l’hyperpuissance américaine, mais les deux puissances moyennes européennes en avaient tiré des conclusions différentes
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Mise en place d'un office germano-polonais pour la jeunesse (OGPJ)
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Period: to
opposition France-Allemagne sur la politique à suivre en Yougoslavie; différentes lectures historiques des deux pays. L’Allemagne, contrairement à la Fr, considère la Serbie comme l’Etat agresseur;
l’op all fait pression pour la reconnaissance des Etats slovènes et croates; ce qui a lieu; particulièrement opposés comme CE; cause du manque d’initiative de la CE pendant Tdd -
Dissolution du PdV; l’All veut un interventionnisme plus fort des Etats-Unis dans la région car elle craint le vide politique et l’explosion violent des Etats multi-ethniques
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Franjo Tudjman longuement reçu par Kohl et Genscher à partir de cette date, sans que cela soit réellement su
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(20-21 août), démantèlement institutionnel de l'Etat yougoslave et reconnaissance unilatérale de la Slovénie et de la Croatie par l'Allemagne
L’Allemagne poussait donc unilatéralement à l’éclatement de la Yougoslavie quelqu’en fussent les conséquences -
Les partenaires européens de l’Allemagne acceptent de mauvais gré le projet de sanctions unilatérales contre la Serbie
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Period: to
Sommet de l'OTAN de Rome;la doctrine militaire de l’alliance a été révisée : abandon de la riposte graduée et de la défense à l’avant, modification de la structure militaire des forces alliées et adoption d’un nouveau concept stratégique.
L’All participe activement à ces négos et s’affirme comme grand 2nd de l’alliance quand la France reste à l’écart. -
le SG de l’ONU invite l’Allemagne à la prudence dans le cadre d’une lettre adressée à HDG; l’Allemagne fait un chantage à la signature du volet diplomatique du TdM si on ne reconnaît pas la Slovénie et la Croatie;
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Affaire yougoslave, l'Allemagne prend la confiance; lors du sommet de Maastricht, les Douze s'engagent à reconnaître les nouvelles nations si respect de certains principes, nota q° des minorités
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Reconnaissance unilatérale de la Slovénie et de la Croatie par l'Allemagne
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France envoie ses casques bleus en Bosnie, damant le pion à l'Allemagne
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La brigade franco-allemande devient l'Eurocorps
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Kohl soutient Mitterrand pendant la conférence de la Sorbonne pour que le “oui” l’emporte à Maastricht
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signature du TdM; l’union monétaire sera mise en place par étapes; respect des marges de fluctuat° du SME, déficit limité, stabilité des prix. Politique monétaire calquée sur celle de l’Allemagne. statut de la BCE calqué sur celui de la Buba
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Après référendum boycotté par les Serbes, Kohl et HDG réitèrent leur coup de force visant à faire reconnaître l’indépendance de la Bosnie-Herzégovine à leur partenaire, immédiatement Un jour plus tard, les Etats-Unis emboîtent le pas à l’UE
Sèment les germes d'une longue guerre civile -
Sommet franco-allemand de La Rochelle; volonté de FM et HK d’augmenter la collaboration franco-allemande par la création d’une brigade franco-all de 35 à 40000 hommes; la Belgique, le Luxembourg et l’Espagne sont invité à rejoindre
(...) le projet qui créerait un Eurocorps, basé à Strasbourg -
(08-09 décembre 1992) Des altercations violentes entre Britanniques et Allemands pendant la nuit; la France ne s’y mêle pas; sommet tendu;
car l’Allemagne veut soutien des Douze pour prix de sa concession; mais à par l’Espagne, personne n’est chaud pour soutenir l’Allemagne sans reconnaissance formelle de la ligne Oder-Neisse -
19/02/93 : Die Zeit publie un placard plaidant pour une intervention des forces aériennes de l’OTAN, signé, entre autre, par Oskar von Hohenzollern, prince de Prusse, et Ferdinand, prince de Bismarck
Quelques jour plus tard, Stefan Schwarz, député CDU membre de la commission de la défense du Bundestag déclare avoir reçu une liste de 107 objectifs serbes à bombarder. La Bundeswehr prépare un plan d’attaque aérien. -
Position commune au conflit