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Crise agricole
À cause de l'immigration britannique et de l'acroissement naturel chez les canadiens, plus de personnes dépendent de la production agricole de la colonie. De plus, des mauvaises récoltes au Bas-Canada dut à l'appauvrissement des sols, le manque de fumier attribuable à l'absance de grands troupeaux d'élevage, des conditions météorologiques difficiles et l'invasion de certains insectes, mènent à une véritable crise agricole. -
Émigration massive des canadiens
La surpopulation des seigneuries dans la vallée du Saint-Laurent dut à l'augmentation de la population et au peu de nouvelles terres ouvertes pour l'agriculture, et la crise agricole amènent plusieurs canadiens des régions rurales à migrer vers la ville ou émigrer aux États-Unis. Cette émigration inquiète les autorités coloniales. Donc, pour inciter les canadiens à rester, ils proposent d'ouvrir de nouvelles régions de colonisations pour y installer la population. -
Fondation d'organisations nationales
Pour soutenir la culture et aider leur communauté, ou encore pour promouvoir des idées politiques, différentes organisations nationales sont créées. Cependant, des tensions émergent entre les organisations qui défendent les intérêts des britanniques et les organisations qui appuient les idées des patriotes. Mais beaucoups de gens considèrent que ces tensions s'apaiseront si la métropole accepte les 92 résolutions. -
Épidemie de choléra
Dut à l'émmigration massive au Bas-Canada, le choléra, une maladie mortelle, arrive. Les autorités coloniales du Bas-Canada mettent en place des mesures pour prévenir une épidémie dans la colonie. Mais, malgré tout, la maladie à commencer à se répendre rappidement et une épidémie est arrivée. Cette épidémie sucite des tensions au Bas-Canada. Certains blâment les immigrants Irlandais et il y a même des politiciens canadiens qui accusent leurs collègues britanniques de l'introduire volontairement. -
Élection partielle et nationalisme avivé
Cette élection partielle augmente les tensions politiques entre les canadiens et les britanniques dut à l'opposition qui se développe depuis plusieurs années au Bas-Canada entre deux sentiments d'appartenance : le nationalisme canadiens et le nationalisme britannique. Le 21 mai, des bagares ont éclatés autour d'un bureau de scrutin, l'armée à été appelé sur les lieux et trois partisans ont été tués. L'élection partielle à alors contribuer à aviver le nationalisme. -
Adoption des 92 résolutions
Puisque les débutés du Parti des bureaucrates et du Parti patriote s'opposent encore sur certains sujets, un débuté canadien dépose le document des 92 résolutions. Il s'agit d'un document dans lequel sont consignées toutes les revendications des patriotes, elles visent à réformer le systeme politique du Bas-Canada. Les résolutions sont soumises et adoptées lors d'une Chambre d'assamblée. -
Fondation du Doric Club
Pour faire valoir les droits et les privilèges des britanniques face à se qu'ils appellent la French domination, à la chambre d'assamblée, des britanniques loyalistes fondent le Doric Club, une association paramilitaire. -
Adoption des résolutions Russell
Ces résolution rejettent les demandes du Parti patriote. Elles réduisent, au contraire, les pouvoirs de la Chambre d'assamblée du Bas-Canada. -
Fondation des Fils de la Liberté
Pour répondre à la fondation du Doric Club, des patriotes radicaux forment une organisation indépendante du Parti patriote et qui ne cache pas sa volonté de prendre les armes. -
L'Église catholique
L'évêque de Montréal, Monseigneur Lartique, encourage les catholiques à rester fidèles au Royaume-Uni. Il fait cela pour que les dirigeants coloniaux tolèrent leur religion et pour donc, éviter de perdre certains privilèges. Le curé de Saint-Benoît, Étienne Chartier, est comme certains autres curés de campagne, en désaccord avec celui-ci, ils appuient les patriotes. -
Rébellions au Haut-Canada
Les débutés réformistes n'aiment pas que le Family Compact soit une minorité privilégiée. Le débuté William Lyon Mackenzie planifie alors la lutte armée et organise des assemblées populaires pour rallier des partisans à sa cause. Ils ont tentés de prendre la ville de Toronto, mais n'ont pas réussi. Mackenzie fuit aux États-Unis, les rebelles tentent d'autres attaques sans succès et plusieurs sont fait prisonier. -
Première assamblée populaire
Lors de cette assamblée, l'assamblée populaire adopte la déclaration de Sainte-Ours. Il s'agit de 12 résolutions affirmant que la métropole est désormais un adversaire des canadiens. Il y eu par la suite des dizaine d'autres assamblées populaires. Les canadiens étaient invités à boycoter les produits britanniques et à acheter plutôt des produits fabriqués dans la colonie. -
Violante assemblée populaire
Après leur réunion, les deux groupes se sont battues et en sont même venu aux coups de feu. Durant les semaines qui suivent, des mandats d'arrêt sont lancés contre des patriotes. L'armée britannique se charge de les poursuivrent et des combats armés éclatent. Ces batailles se soldent par une importante défaite des patriotes à Saint-Eustache. -
Déclaration d'indépendance du Bas-Canada
Papineau est en désaccord avec les radicaux et s'éloigne alors des mouvements patriotes. Robert Nelson devient donc le chef des patriotes exilés aux États-Unis. Il s'allie ensuite avec William Lyon Mackenzie et la nuit du 27 au 28 février, il va au Bas-Canada avec 300 patriotes pour déclarer l'indépendance de la colonie. Cela ne fonctionne pas et se réfugient de nouveaux aux États-Unis. Des patriotes fondent ensuite une association paramilitaire secrète : Les Frères Chasseurs -
Dépôt du rapport de Durham
Lord Durham mène une enquête sur les rebellions dans les deux colonies. Il décide d'expatrier 8 patriotes et dépose ensuite son rapport. Il suggère l'assimilation des canadiens et leur fait porter la responsabilité des problèmes de la colonie, il propose de plus, d'unir le Haut-Canada et le Bas-Canada en une seule colonie. Le rapport déplais au canadiens, mais les britanniques du Bas-Canada et le Haut-Canada donnent un acceuil favorable au projet d'union