Revendications et luttes nationales

  • Accéder au pouvoir

    Accéder au pouvoir
    L'Acte de Québec est remplacé par une troisième constitution: l'Acte constitutionnel qui répond principalement aux demandes des marchands et des loyalistes, lesquels réclament le droit d'élire des représentants qui administrent leurs taxes. Donc, cette Acte maintient les bases de la structure politique déjà en place et il créer une chambre d'assemblée. De plus, cette Acte divise la province en deux colonies: Haut-Canada (anglophone) et Bas-Canada (francophone)
  • Le droit de vote éligible

    Le droit de vote éligible
    Il y a certaines conditions pour pouvoir voté et être éligible :
    -Avoir 21 ans ou plus
    -Être britannique
    - Il ne faut pas avoir été en prison
    - Répondre aux exigences du cens électoral (impôt de propriétaires ou revenus).
  • Period: to

    Expérimenter le parlementarisme

    En 1792, les élections débute au Bas-Canada et se conclu avec 50 députés pour la chambre d'assemblée. Ils proviennent de la bourgeoisie d'affaires, professionnelle ou des seigneurs nobles. Puisqu'ils sont francophones et anglophones cela provoque des conflits.De plus, c'est la première législature qui s'ouvre, comme premier débat le choix de l'orateur, qui conclu avec un député bilingue pour cesser la dualité linguistique. En 1801, c'est l'instauration des écoles anglaises publiques et gratuite.
  • Period: to

    La division de la Chambre d'assemblée

    Proposition: l'instauration d'écoles primaires anglaises gratuites et publiques.
    Ce projet de loi divisera la Chambre d'assemblée car les bureaucrates sont pour mais le Parti canadien le voit comme de l'assimilation. Il a quand même été approuvé par le roi en avril 1802.
  • Débattre au parlement et dans la presse

    Débattre au parlement et dans la presse
    Une confrontation se transforme en lien avec le projet de loi sur le financement des prisons et d'une taxe, les Canadiens appuient l'imposition de la taxe, tandis que les britanniques s'opposent car ils craignent que pour leurs profits. C'est donc la Chambre d'assemblé qui approuve la taxe sur les produits importés ainsi que le projet de loi. Aussi, le 5 Janvier 1805, une première publication est effectuée dans le journal The Quebec Mercury, écrit en anglais qui défend les intérêts britanniques.
  • Le paysage économique se redessine: Le Blocus continental

    Le paysage économique se redessine: Le Blocus continental
    L'empereur Napoléon Bonaparte souhaite faire de la France le plus grand empire du monde. Pour se faire, il doit affaiblir le Royaume-Uni. Il créer donc une politique appelée blocus continental qui vise à empêcher les Britanniques de s'approvisionner en marchandises (le bois et le blé), sur le continent européen. Ils doivent donc se retourner vers leur colonie d'Amérique. Donc, afin de contrôler le commerce, les Britanniques fouillent les bateaux étrangers comme ceux des États-Unis.
  • Journal Le Candien

    Journal Le Candien
    Des députés du Parti Canadien publient le premier numéro du journal: Le Canadien, qui est écrit en français et qui défend les intérêts des Canadiens en valorisant des institutions parlementaires britanniques, en augmentant le pouvoir et la défense du système seigneurial ainsi qu'en promouvant la langue française, comme la liberté d'expression. La dualité présente en chambre d'assemblée est ainsi transposée dans les deux journaux d'opinion.
  • Le paysages économique se redessine

    Le paysages économique se redessine
    C'est en 1810 que l'industrie forestière y devient le secteur le plus important. Par contre, c'est le contraire pour le commerce des fourrures, car le coût pour s'en procurer augmente puisque la rareté de la ressource oblige les compagnies à s'aventurer de plus en plus loin pour faire la traite.
  • Conflits et impasse: le nationalisme

    Conflits et impasse: le nationalisme
    C'est au début du 19e siècle que le nationalisme (avoir un gouvernement autonome) est inséré dans plusieurs société d'Europe et d'Amérique.De plus, le nationalisme se forme dans beaucoup de tensions politiques au Bas-Canada ainsi que dans la chambre d'assemblé ce qui créer des débats qui évoluent en affrontements. Aussi, les députés du Parti Canadien refusent d'approuver la liste civile, car ils en réclament le contrôle. Cette situation politique se termine donc dans une impasse.
  • Des idées qui traversent les frontières: des luttes

    Des luttes pour la libération nationale commencent. Certaines colonies acquièrent leur indépendance. C'est le cas de l'Haïti, du Paraguay et de l'Argentine, notamment. Les patriotes canadiens trouvent d'ailleurs dans la décolonisation de l'Amérique latine des arguments et des exemples pour appuyer leurs demandes.
  • La guerre

    La guerre
    Les relations entre les États-Unis et leur ancienne métropole se détériorent. C'est donc le 18 Juin 1812, le président des États-Unis signe une déclaration de guerre. C'est donc le début de la guerre anglo-américaine.
  • Une invasion refoulée

    Une invasion refoulée
    Puisque les tentatives d'invasions des Américains ont été repoussées, les colonies n'ont pas réussie a s'imposer dans les combats. Donc, le Royaume-Unis ainsi que les États-Unis signent un traité de paix, qui stipule le maintien des frontières d'avant la guerre.
  • La difficulté

    La difficulté
    Le Royaume-Uni adopte des Corn Laws pour taxer les céréales venant des autres pays. Cela à pour but de diminuer l'entrée des céréales étrangères et d'augmenter l'agriculture.
    Le Haut-Canada en tire profit grâce à ça température favorable à l'agriculture, tandis que le Bas-Canada a beaucoup plus de difficultés à cause du climat, mais aussi des terres non fertile du à la culture intensive du blé.
  • The Great Migration

    Au Royaume-Uni, après les guerres contre la France, les conditions sociales et économiques sont difficiles et le travail est rare. De plus, les récoltes sont mauvaises dans une grande majorité du Royaume-Uni et la famine est présente. Des Britanniques choisissent donc d'émigrer vers les colonies. Aussi, c'est entre 1815 et 1830, que les Écossais, les Anglais et les Irlandais traversent l'Atlantique à bord de navires surchargés et insalubres.
  • Ls richesse des uns: le bois.

    Ls richesse des uns: le bois.
    Le bois est le produit le plus exporté du Bas-Canada tandis que le commerce des fourrures est plus en plus en difficulté. Donc, la zone de peuplement se développe là où se trouvent des lieux d'exploitation du bois. Il y a aussi la chambre d'assemblée qui adopte un projet de loi pour financer l'entraient et la construction des routes. Cette loi priorise les grands chemins menant d'une colonie à l'autre, les chemins de postes, les chemins locaux, les ponts ainsi que les cannaux.
  • Les premières banques

    Compte tenu de l'augmentation du nombre de transactions commerciales liées au commerce du bois, la monnaie vient à manquer dans la colonie. Il devient nécessaire de mettre plus d'argent en circulation. Dans ce contexte, plusieurs marchands souhaitent la création de banques au Bas-Canada. À l'été 1817, trois marchands créent la première banque de la colonie, la Banque de Montréal. Cette même année, deux autres banques ouvrent aussi leurs portes.
  • Le déclin du commerce des fourrures.

    Dans les années 1810 et 1820, le déclin du commerce des fourrures se poursuit. La demande est en baisse et la concurrence que se livrent la Compagnie du Nord-Ouest et la Compagnie de la Baie d'Hudson tourne au conflit.
  • La difficultés des autres: La traite des fourrures

    Les affrontements qui suivent amènent le gouvernement britannique à souhaiter la fusion des compagnies, ce qui se produit en mars 1821. La compagnie de la Baie d'Hudson devient l'entreprise de la traite de fourrure la plus importante du monde. Montréal perd son rôle central puisque la majorité des fourrures passent par la Baie. Donc, puisque plusieurs poste de traite sont fermés, les Premières nation et les Métis font face à une situation difficile, car leur économie dépend toujours du commerce.
  • La politique s'envenime

    Un projet est présenté au Parlement de Londres pour unir le Haut-Canada et le Bas-Canada en une seul colonie, avec une seule chambre d'assemblée ou les Canadiens francophones seraient en minorité. Une fois informés, les députés du Parti canadien, qui n'ont pas été consultés, se mobilisent afin de dénoncer ce projet au moyen de pétitions. Le gouvernement britannique rejette finalement le projet d'union, mais les députés du Parti canadien restent méfiants et durcissent leur position.
  • Period: to

    La politique s'envenime

    C'est le début de la querelle des subsides qui va mener à une véritable crise où la Chambre d'assemblé, les conseils et le gouverneur s'affronte ouvertement. Ainsi, de 1822 à 1832, le Conseil législatif rejette 169 projets de loi adoptés pas la Chambre d'assemblé.
  • Le Canal Lachine

    Le Canal Lachine
    Le canal Lachine devient en 1825 le premier canal achevé dans la colonie. Il a été construit, car les marchands ont fait valoir l'importance d'en construire un pour permettre de contourner ces rapides et de faciliter le commerce avec le Haut-Canada et les États-Unis.
  • Des idées qui traversent les frontières

    À la fin des guerres napoléoniennes, la carte géographique de l'Europe est bouleversée: des frontières changent et certains empires disparaissent. De plus, des revendications nationales, associés aux idées du libéralisme politique et du républicanisme, naissent dans toute l'Europe. En effet, plusieurs Européens souhaitent vivre dans un État ou le pouvoir appartient davantage au peuple.
  • Des idées qui traversent les frontières: des soulèvements

    Entre 1815 et 1830, des soulèvements populaires secouent l'Espagne, le Portugal, la France, la Russie, la Belgique, la Grèce et l'Italie. Dans les années 1830, les soulèvements se transforment même en révolutions, dont font mention les journaux du Bas-Canada
  • The Great Migration en navire

    The Great Migration en navire
    D'une durée de cinq ou six semaines, la traversée en mer des immigrants britanniques vers la colonie se fait dans des conditions pénibles, au fond de cales où il y a peu d'espace pour bouger. La nourriture et l'eau potable sont rationnées, les maladies se propagent rapidement et les passagers cohabitent la vermine.
  • La colère gronde

    Dans les années 1830, le Bas-Canada connaît des problèmes économiques et sociaux qui avivent les tensions politiques et le mécontentement de la population.
  • La crise agricole

    La crise agricole
    Le Bas-Canada traverse une crise agricole, car la production ne suffit pas à la demande et peu de nouvelles terres sont ouvertes à l'agriculture alors que la population augmente. Cette situation entraîne une surpopulation des seigneuries dans la vallée du Saint-Laurent. Cela est causée par divers facteurs comme l'appauvrissements des sols, le manque de fumier attribuable à l'absence de troupeaux d'élevage, des conditions météorologiques difficile et l'invasion d'insects nuisibles aux cultures.
  • Une révolution éclate

    Une révolution éclate
    En France, une révolution éclate en juillet 1830 à la suite du rétablissement de la monarchie. Le roi Charles X suspend la liberté de presse et le droit de vote. La population est en colère, elle qui avait milité en 1789 pour la liberté. C'est le 27 Juillet 1830 que 8000 insurgés prennent d'assaut Paris. Après quelques jours de combat, le roi abdique.
  • La maladie contagieuse

    La maladie contagieuse
    Des immigrations britanniques apportent avec eux le choléra, une maladie contagieuse mortelle. Pour éviter une épidémie, les autorités coloniales mettent en place des mesures de prévention, dont l'aménagement d'un lieu de quarantaine à la Grosse Île. Malgré tout, plus de 8000 personnes meurent du choléra du Bas Canada. C'est ainsi que la tension montent de plus en plus.
  • La colère gronde

    Des bagarres éclatent autour du bureau de scrutin, à la suite d'une élection partielle. L'armée intervient et tire sur la foule. C'est ainsi que trois partisans du Patri patriote sont tués. Ces événements, combinés aux difficultés économiques et à l'épidémie de choléra, contribuent à aviver le nationalisme, en particulier chez les Canadiens.
  • Le ton monte

    Après l'élection partielle de 1832, le ton monte dans les débats politiques. Quand la session parlementaire débute en Janvier 1834, c'est l'impasse à la Chambre d'assemblé, car les députés s'opposent encore sur certains sujets, comme le vote des subsides. Deux débutés patriotes rédigent 92 résolutions qui visent à réformer le système politique du Bas-Canada. Au finale, les députés de la chambre d'assemblé adoptent les résolutions et le Haut-Canada veut lui aussi des changements politiques.
  • La Société Saint-Jean-Baptise

    La Société Saint-Jean-Baptise
    Les Canadiens défendent les intérêts de leur communauté et elle promouvait des idées politiques. Donc, elle créent la Société Jean-Baptise. La coexistence est possible entre différente organisation, mais une rivalité s'installe entre certaines d'entre elles. Des tension émergent par exemple entre des organisations qui défend les intérêts britannique et d'autres qui appuient les idées des patriotes. Cette société est fondé par le journaliste Ludger Duvernay, un banquet qui remporte un vif succès.
  • L'émigration

    L'émigration
    Plusieurs Canadiens des régions rurales émigrent aux États-Unis ou migrent vers les villes où ils espèrent trouver du travail du travail sur, des chantiers, tels ceux de construction de canaux, ou à partir de 1835, du chemin de fer. Cette émigration inquiète les autorités coloniales.
  • Les résolutions Russell

    Les résolutions Russell
    En mars, les résolutions Russell par le ministre John Russell rejettent les demandes du Parti patriote. Le gouvernement britannique autorise le gouverneur du Bas-Canada et le conseil exécutif à prendre les subsides nécessaires pour payer les dépenses de la liste civile, sans l'accord de la chambre d'assemblée. Le gouverneur Gosford convoque la Chambre d'assemblée pour discuter des résolutions avant leur mise en application. Au final, malgré l'espoir, les discussions sont toujours dans l'impasse.
  • Les esprits s'échauffent

    Au printemps, les députés patriotes offusqués du rejet des 92 résolutions par la métropole, constatent qu'ils n'obtiendront pas ce qu'ils demandent par la voie parlementaire. Ils décident de s'adresser directement à la population et organisent des assemblées populaires, soit des réunions politiques se déroulant devant des foules de citoyens, pour dénoncer les résolutions Russell.
  • Les esprits s'échauffent

    Chez les loyalistes comme chez les patriote 2 tendance politique se dessinent: il y a un côté des modéré et de l'autre des radicaux. Les modéré prônent la prudence et croient pouvoir réformer la structure politique. Les radicaux quant à eux souhaitent prendre les armes. Quelques Britanniques loyalistes fondent une association paramilitaire le Doric Club. Ils veulent faire valoir les droit et les privilèges des Britanniques face à ce qu'ils appellent la French domination à la Chambre d'assemblée.
  • Les esprits s'échauffent (suite)

    Les esprits s'échauffent (suite)
    En réponse au Doric Club, certains patriotes radicaux forment les Fils de la liberté en septembre 1837. Cette organisation, indépendante du Parti patriote, ne cache pas sa volonté de recourir aux armes pour obtenir l'indépendance du Bas-Canada.
  • La violence éclate

    En fin d'année, des trouble ont lieu au Haut-Canada. Certains radicaux prônent la lutte armées pour réclamer plus d'égalité et de démocratie. Ils sont irrité par le favoritisme du lieutenant-gouverneur envers le Family Compact. William Lyon Mackenzie, un député réformiste, tente de renverser le gouverneur par la force. Toutefois, son groupe manque de préparation et la population du Haut-Canada demeure en majeure partie loyale au Royaume-Uni. La révolte est étouffé. Mackenzie fuit aux États-Unis.
  • Les assemblées

    Au cours de l'été, des dizaine d'assemblée populaire ont lieu. Les adversaire des patriote loyaux envers les autorités coloniale organisent des assemblée pour examiner leur désaccord à l'endroit des patriote. En octobre se déroule la plus importante des assemblée des patriotes: l'assemblée des Six Comtés. À cette occasion, les chefs Louis-Joseph Papineau et Wolfred Nelson s'adressent à la foule. Papineau croit que des solutions pacifique existent encore alors que Nelson veut prendre les armes.
  • Les esprits s'échauffent

    Les esprits s'échauffent
    Devant l'agitation populaire qui règne au Bas-Canada, le haut clergé de l'Église catholique prend officiellement position à l'été 1837. Monseigneur Lartigue, évêque de Montréal, encourage les catholiques à rester, une fois de plus fidèle au Royaume-Uni. L'évêque a une grande autorité au sein du clergé catholique. C'est pourquoi la plupart des membres du bas clergé vont suivre ses directives.
  • La violence éclate

    La violence éclate
    L'assemblée des Six Comtés a contribué à augmenter les tensions entre les loyalistes et les patriotes. Les Fils de la liberté et le Doric Club s'affrontent à Montréal à la suite de leurs réunions respectives. Cet évènement marque le début des rébellion des patriotes. Au cours des semaines suivantes des mandats d'arrêt sont lancés contre des patriotes. Plusieurs d'entre eux se réfugient à la campagne pour éviter l'emprisonnement. L'armée britannique éclatent dans des paroisses autour de Montréal.
  • La loi martiale

    La loi martiale
    La loi martiale entre en vigueur. Presque tous les chefs patriotes s'exilent aux États-Unies.
  • La métropole sévit

    La métropole sévit
    Les rebelles sont vaincu dans le Haut-Canada et le Bas-Canada. Cet échec s'explique par le manque d'unanimité au sein des patriote, la mauvaise organisation, les moyens financiers insuffisants pour les batailles, la puissance militaire de l'Empire et l'absence d'appui extérieur. De plus, au termes des rébellions, 855 patriote sont arrêtés dans le Bas-Canada. Dans la colonie administrée par le Conseil, la constitution demeure suspendue, comme la Chambre d'assemblée. Mais cela temporaire.
  • L'enquête sur les rebellions.

    Le gouverneur Lord Durrham doit mener une enquête sur les rebellions dans les deux colonies. Dans le Haut-Canada, il interroge surtout des réformistes, qui lui font part de ce qu'ils considèrent être des injustices du système politique. Au Bas-Canada, il rencontre surtout des anglophones et des membres de la bourgeoisie d'affaires, qui expriment leur mécontentement envers les Canadiens et souhaitent unir le Haut-Canada et le Bas. Après 5 mois, il rédige son rapport
  • Le rapport de Durham

    Dans son rapport, Durham constate des problèmes lié à l'exercice du pouvoir dans les deux colonies. Il suggère d'introduire la responsabilité ministérielle. Aussi, Durham arrive à la conclusion que dans le Bas-Canada, le conflit est une crise ethnique entre Canadiens et britanniques. Selon lui, l'attachement des Canadiens à leurs institutions nuit au développement de la colonie. Il suggère l'assimilation à la culture britannique, et estime qu'elle se fera naturellement au bout de cette culture.
  • L'indépendance de la colonie

    L'indépendance de la colonie
    Le Parlement britannique suspend la constitution du Bas-Canada. Dès lors, un Conseil spécial, composé du gouverneur et de quelques conseillers, dirige la colonie du Bas-Canada, sans la Chambre d'assemblée. À la fin du mois, des patriotes exilés, dont Robert Nelson, déclarent l'indépendance de la colonie.