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Influence gouvernemental dans le commerce international
Les gouvernements peuvent créer des subventions, taxer le public et donner de l'argent à une industrie, ou des tarifs, ajouter des taxes sur les produits étrangers pour augmenter les prix et rendre les produits nationaux plus attrayants. Des taxes et des frais plus élevés et des réglementations plus strictes peuvent entraver des entreprises ou des secteurs entiers. -
Argument politique du gouvernement dans le commerce
Les arguments politiques en faveur d'une intervention gouvernementale couvrent un éventail de questions, notamment la préservation des emplois, la protection des industries jugées importantes pour la sécurité nationale, les représailles contre la concurrence étrangère déloyale, la protection des consommateurs contre les produits dangereux, la promotion des objectifs de la politique étrangère et la promotion des droits humains des particuliers dans les pays exportateurs. -
2001 (Chine)
L'entrée de la Chine à l'OMC en 2001 a eu un impact important sur le Canada. Le développement économique rapide de la Chine a créé une forte demande de matières premières. Cette demande a profité aux exportateurs canadiens de pétrole, de charbon et de minerais. -
Effet sur l'économie Canadien
A cause que le commerce encourage les entreprises et les travailleurs à se spécialiser dans ce qu'ils font le mieux, à innover et à grandir en servant les marchés mondiaux, la productivité des entreprises s'améliore, ce qui à son tour fait augmenter les salaires des travailleurs et augmente la prospérité du Canada. Le résultat final est une augmentation du niveau de vie. -
2017 (États-Unis et Mexique)
En 2017, le Canada a commencé à négocier un nouvel accord avec les États-Unis et le Mexique pour remplacer l'ALENA. Pendant que ces pourparlers avaient lieu, les États-Unis ont imposé des tarifs élevés sur l'acier et l'aluminium canadiens. Cela a incité le Canada à imposer ses propres tarifs en réponse. -
Augmentation du commerce pour le Canada
Sur le plan commercial, les exportations de biens et services du Canada ont augmenté de 6,2 % en 2018, tandis que les importations ont augmenté de 5,4 %. La valeur totale des échanges de biens et de services a atteint un niveau record de 1 500 milliards de dollars. Les exportations de biens du Canada ont joué un rôle important dans l'augmentation, augmentant de 6,5 % en 2018 pour atteindre 585 milliards de dollars. -
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2019 - 2021 (Covid-19)
La valeur des exportations annuelles de marchandises du Canada a diminué de 12,4 % en 2020 pour s'établir à 524 milliards de dollars, tandis que les importations annuelles ont chuté de 8,5 % à 561 milliards de dollars. Le déficit commercial de marchandises avec le monde a plus que doublé, passant de 15,4 milliards de dollars en 2019 à 37,3 milliards de dollars en 2020. Le déficit commercial total du Canada est passé de 36,9 milliards de dollars en 2019 à 44,8 milliards de dollars en 2020. -
2020 (CUSMA)
Le nouvel accord Canada-États-Unis-Mexique (CUSMA) est entré en vigueur le 1er juillet 2020. Il ne devrait avoir qu'un impact modeste sur la croissance économique. L'accord pourrait toutefois affecter la capacité du Canada à négocier de futurs accords commerciaux. Cela pourrait également limiter les options du Canada pour créer des politiques liées à l'économie numérique. -
2021 (Royaume-Uni)
Le Canada et le Royaume-Uni ont négocié un accord de continuité des échanges - le TCA - qui offre aux exportateurs, aux fournisseurs de services et aux agriculteurs canadiens un accès préférentiel continu au marché du Royaume-Uni grâce à l'AECG. L'AECG a supprimé 98 % des tarifs sur les produits canadiens et, avec le temps, supprimera environ 99 % des tarifs, en plus des autres avantages de l'AECG. -
L'économie du Canada avec le commerce international
Le commerce international, y compris les exportations et les importations, est une composante importante de l'économie canadienne, chacun représentant environ un tiers du PIB. L'économie canadienne s'est contractée de 0,3 % au deuxième trimestre, en grande partie en raison d'un recul marqué de 4,0 % des exportations réelles. La rétrogradation nous a obligés à réduire nos prévisions de croissance du PIB réel en 2021 à 5,1%.