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Le phonautographe
Créé en 1957 par Edouard-Léon de Martinville. Cet appareil est constitué d'une membrane vibrante, placée au bout d'un tube acoustique, qui transmet les vibrations sonores à un stylet qui les grave sur un cylindre enduit de noir de fumée.
Cet appareil pouvait donc enregistrer un son sous forme de gravure, comme son nom le suggère, tout en ne pouvant toutefois pas permettre de le réécouter. -
Phonographe
Son dispositif est mécanique, il permet d'enregistrer des sons grâce à un stylet composé d'une aiguille interchangeable fixée sur un diaphragme de mica. Ce stylet grave les sonorités sur un cylindre d'étain (de cire par la suite, ce qui améliora la qualité de l'enregistrement). Dès que l'enregistrement est terminé, la gravure peut être lue par le stylet. L'aiguille, faisant vibrer le diaphragme, transforme le sillon gravé en sons. Afin de permettre la diffusion de ces premiers enregistrements, -
Le gramophone
Un gramophone est constitué de trois éléments au minimum : un plateau tournant, sur lequel est déposé le disque. Le plateau est mis en rotation au moyen d'une manivelle ou plus tard d'un moteur à ressort; un bras comportant à une de ses extrémités une tête de lecture, elle-même composée d'une aiguille, similaire à une aiguille à coudre, et d'un diaphragme, pouvant pivoter et suivre le déplacement de la tête sur le disque; un dispositif d'amplification, le plus souvent de forme conique -
L'éléctrophone
Un tourne-disque ou électrophone est un appareil électronique destiné à restituer un enregistrement sonore réalisé sur disques microsillons. Appelé aussi pick up, il est le successeur électronique du phonographe.
Une platine, platine tourne-disque ou « table de lecture », ne comprend que les mécanismes de lecture des disques, sans amplification ni haut-parleurs. C’est la forme la plus courante de tourne-disques depuis la fin des années 1970. -
Le magnétophone
Un magnétophone est un appareil permettant d'enregistrer des sons sur une bande magnétique. Les bandes peuvent être en bobine ou en cassette.
Le principe est de polariser grâce à un électroaimant (tête magnétique), les particules métalliques magnétiques d'un support souple en ruban, défilant à vitesse constante sur la tête. -
Walkman (baladeur)
Marque déposée par Sony en 1979. Le principe : un boitier dans la poche, un casque sur les oreilles et l'adolescence de milliers de jeunes qui en fut changée. Appareil portable de petite taille
permettant de restituer des musiques, et dans certains cas des vidéos et des images stockés sous forme de fichiers informatiques sur des disques en polycarbonate et pellicule
métallique. -
Lecteur CD
La rotation du disque est assurée par un servomoteur à vitesse variable. En effet, que la portion de piste1 soit au centre ou en périphérie, la longueur des secteurs est toujours la même, par conséquent, contrairement au disque vinyle, le défilement des données devant la tête de lecture doit être constant. En simple vitesse, un secteur doit être survolé en 1/75e de seconde. -
Lecteur MP3
En 1988, la société Diamond sort, sous la marque Rio, le premier baladeur MP3, profitant de l'invention de ce format de compression sonore. Le Rio PMP 300 permet de stocker 32 Mo de données, soit environ une demi-heure de musique. Cependant, ses capacités sont trop limitées pour enthousiasmer le grand public.