Les négociations constitutionnelles_olivia_409

  • Statut de Westminster

    Le statut de Westminster est voté par le Parlement britannique, ce qui officialise l'indépendance législative des dominions. Par contre, cette indépendance est limitée puisque le Parlement britannique se garde le droit de pouvoir modifier la Constitution canadienne.
  • Period: to

    Union nationale

  • Period: to

    Parti libéral

  • La Charte de Victoria-rejeté

    La Charte de Victoria est l'idée de Robert Bourassa qui croît aux idées du premier ministre Pierre Elliott Trudeau qui croit en «l'égalité ou l'indépendance». Elle permettrait au Québec de se ramener au rang de province comme les autres et de lui donner son indépendance.
    Premier ministre Canada: Pierre Elliott Trudeau
    Premier ministre Québec: Robert Bourassa
  • Period: to

    Parti Québecois

  • Référendum sur la souveraineté-association-rejet

    Le Part québécois considère que le Québec doit être indépendant sur tous les plans. Tandis que René Lévesque support l'idée de souveraineté-association, qui est la souveraineté du Québec et l'association économique avec le Canada. Les souveranistes créent le parti «Oui», tandis que le côté d'opposition, celui du parti québécois, crée le parti «Non»
    Premier ministre Canada: Pierre-Elliott Trudeau
    Premier ministre Québec: René Lévesque
  • Rapatriement de la constitution

    Trudeau désire modifier la Constitution, mais elle ne peut être modifier que par le Parlement britannique. Chaque province énonce ses demandes, celles du Québec étant la reconnaissance d'un statut en tant que province francophone. La nuit du 4 au 5 novembre 1981, Trudeau, Jean Chrétien et les premiers ministres des neuf provinces négocient sans le premier ministre du Québec pour décider de rapatrier la Constitution, Lévesque trahis sa population en refusant.
  • Period: to

    Parti libéral2

  • Échec de l’accord du lac Meech

    C'est une tentative de réintégrer le Québec dans la Constitution canadienne. Bourassa établit cinq conditions pour que le Québec accepte l'accord. Les premiers ministres s'entendent et la signature de l'accord a lieu. L'accord est approuvé dans les délais par tous sauf les assemblées législatives du Manitoba et de Terre-Neuve. Ceci crée la montée du nationalisme au Québec. Le Bloc québécois est alors crée.
    Premier ministre Canada: Brian Mulroney
    Premier ministre Québec: Robert Bourassa
  • Commission Bélanger-Campeau

    Le but de cette commission est de redéfinir le statut politique du Québec. Elle recommande l'adoption d'une loi portant sur le processus qui déterminera l'avenir politique du Québec. Deux voies sont proposées: soit le Québec demeure dans la fédération canadienne et sont pouvoir est augmenté ou le Québec accède a une souveraineté politique devenant un état indépendant.
  • Rapport Allaire

    Le rapport démontre que le pouvoir central fédéral a toujours été fort et comment le gouvernement fédéral empiète depuis le début sur les pouvoirs des provinces. Le rapport propose d'accorder aux provinces davantage de pouvoirs exclusifs et partagés et d'accorder au fédéral les pouvoirs liés à la gestion des douanes, de la défense et de la monnaie. Échec ou non, le but est d'assurer l'autonomie politique du Québec.
  • L'échec de l'accord de Charlottetown

    Suite à l'adoption de la Loi sur le processus de détermination de l'avenir politique et constitutionnel du Québec, plusieurs négociations ont lieu. Les demandes du Québec sont considérés trop exigeantes donc l'accord demandé est rejeté
    Premier ministre Canada: Brian Mulroney
    Premier ministre Québec: Robert Bourassa
  • Référendum sur la souveraineté-rejet

    Suite à l'écher de l'accord de Charlottetown, le nouveau premier minsitre du Québec organise un référendum sur la souveraineté du Québec. À la suite d'un gros débat inlcuant le plus haut taux de participation depuis 1867, le parti «Non» remporte par 1,2%.
    Premier ministre Canada: Jacques Chrétien
    Premier ministre Québec: Jacques Parizeau
  • La loi sur la clarté référendaire

    La Cour suprême indique que le Québec ne peut pas créer un État indépendant. La loi comporte des zones floues, comprenant des éléments qui vont à l'encontre du principe de la majorité simple.
  • La commission Gomery

    Le premier ministre est obligé de mettre en place une commission d'enquête sur le programme de commandites et les activité publicitaires. Le tout est très médiatisé ce qui ternit l'image du Part libéral fédéral, qui perd des élections au profit du Parti conservateur. À la fin des révélations, quelques sont jugées pour des opérations frauduleuses. La population frustrée car l'argent de leurs impôts est mal utilisé.