-
Period: to
Interdiction du burkini Cannes
Le 11 août, le maire de Cannes révèle avoir interdit le port du burkini sur ses plages invoquant des « tenues ostentatoires qui font référence à une allégeance à des mouvements terroristes qui nous font la guerre ». -
Journée burkini
Le maire de la commune de Pennes-Mirabeau a interdit la privatisation d'un parc aquatique pour des femmes portant le burkini, de confession musulmane qui a donc été annulé. -
Interdiction du burkini Villeneuve-Loubet
Le maire de Villeneuve-Loubet a interdit le port du burkini sur ses plages jusqu'à la fin du mois. -
Interdiction du burkini Sisco
Le maire corse du village Sisco a interdit le port du burkini suite à une altercation entre des villageois et des maghrébins, pourtant sans relation avec cette tenue. -
Interdiction du burkini / polémique relancé
Les maire de Touquet, de Leucate, d’Oye-plage interdisent le burkini.
Des photos d’un contrôle de police sur une plage de Nice, montrant une femme qui enlève sa tunique devant les agent relancent la polémique. Le ministre de l’interieur met en garde contre la « stigmatisation » des musulmans et Nicolas Sarkozy déclare que « ne rien faire » qui est une « provocation » , « serait acter un nouveau recul de la République ». -
Manuel Vals
Le premier ministre Manuel Vals « comprend » et « soutient » les maires qui ont interdit le burkini mais refuse de légiférer (de faire une loi). -
Interdiction du burkini Nice
Le maire de Nice interdit le burkini. -
Arrétés déboutés
La ligue des droits de l’homme et le CCIF, qui attaquent les arréters de Nice et Villeneuve-Loubet sont déboutés (refusé). -
Augmentation des ventes
La polémique augmente les ventes su burkini, a annoncé sa créatrice. -
Interdiction du burkini
Plus de 30 communes de France ont interdit le burkini. -
Critiques des étrangers
Une cinquantaine de femmes manifestent devant l’ambassade de France a Londres. De nombreux journaux étrangers critiquent les interdictions. -
Arrété de Villeneuve-Loubet
Le Conseil d’Etat suspend l’arrété anti-burkini de Villeneuve-Loubet. Selon lui, une restriction de l’accès aux plages ne peut être justifiée qu’en cas de « risques avérés » pour l’ordre public.