La Matrice Révolutionnaire

  • Convocation des États généraux par Louis 16

    États généraux sont créés par Philippe Le Bel (14e siècle). Réunion des représentants des trois ordres (clergé, noblesse, Tiers État). Ils représentent une fonction consultative pour le roi.
    16e siècle, souvent réunis par les différents rois de France.
    N’ont pas été réunis depuis 1614.
    Louis 16 contraint par une crise multiforme (financière : militaire et civile. Les endettements se sont accumulés sous Louis 14,15 et 16. Louis 16 a participé au budget de la guerre d’indépendance des États-Unis).
  • Period: to

    Affaire Réveillon

    Ft partie de Révolution populaire. -27 avril : Rumeur des ouvriers : Réveillon (a manufactures royales de papier peint) aurait dit regretter le tps où ils étaient moins payés.
    Fbourg St-Antoine (Paris) 300 ouvriers de Réveillon + des chômeurs se regroupent : pillent les maisons d’entrepreneurs et crient « mort aux riches », « morts aux aristocrates ».
    -28 avril : Émeutes à l’hôtel particulier de Réveillon. Soldats tirent : répression et nbx morts.
    (avr-juil : colère populaire mais répression).
  • Ouverture des États généraux

    À Versailles : Hôtel des Menus Plaisirs (administration des divertissements de la cour), dans salle temporaire « salle des 3 ordres ».
    Roi sur une estrade. À gauche : noblesse / à droite : clergé / à l’arrière : tiers état.
    1200 députés (hommes). 75 % d’urbains. Clergé : 3/4 st prêtres. Hte noblesse. TE : 2/3 avocats, 1/3 profs. Roi commence le discours, puis assistant de Necker (Ministre des finances) qui lit 3h un rapport sur l’état des finances.
    Roi se dit « le premier ami de ses peuples ».
  • Proclamation de l’Assemblée nationale

    Pendant un mois : piétinement des États généraux qui stagnent.
    Il ne se passe rien, alors les députés se regroupent dans des cafés à Versailles et discutent politique.
    Fermentation politique et influence majeure de Sieyès (qui est député au Tiers État des États généraux). Finalement : les députés du Tiers État des États généraux se proclament Assemblée nationale, la première de France et qui a pour but de représenter la nation. (C’est le premier tournant majeur de la Révolution)
  • Une partie du clergé se rallie à l’Assemblée nationale

    Une partie du clergé ( issue du bas clergé notamment) se rallie aux députés du Tiers État qui se proclament Assemblée nationale.
  • Serment du Jeu de Paume

    Noblesse refuse de se rallier au Tiers état et encourage le roi à la fermeté. Louis 16 ferme la « salle des trois ordres » en dehors des assemblées. L’Assemblée nationale veut avoir une autre salle en dehors des assemblées. Elle se rassemble dans la salle du jeu de paume (salle de sport). Bailly (président TE) est le 1er à prêter serment « ne jamais se séparer jusqu’à ce qu’une Constitution soit établie ».
    Constitution = loi fondamentale d’un État (modèle Angleterre 1689 et USA 1787).
  • Séance royale avec les députés

    Roi convoque les députés. Il annonce que ce sera mtnt vote mixte (soit par ordre, soit par tête). Mais il maintient les privilèges. Il donne aux députés l’ordre de se disperser.
    Les députés refusent. Marquis de Dreux-Brezé dit « le roi, messieurs, vous a demandé de vous disperser ». Mirabeau (député du Tiers État) dit «que par la force des baïonnettes ». Les députés du TE se décrètent inviolables car représentants de la nation. Ils mettent en place un comité de constitution pour la préparer.
  • Assemblée Nationale devient Assemblée Nationale Constituante

    = doit écrire Constitution. Def. citoyen(ne): père français / ancêtre français mais né étranger car religion / vit en France dp. 5 ans / épousé français [Établi en France]
    Prête serment civique.
    Que citoyen actif a droit de vote (= +25 ans / libre (pas influence) donc pas femme/ paye impôts égals à 3 jours de travail). 28 millions d’habitants : 3,4 millions de ca.
    Prend part à assemblées : -communale (ds municipalités) / primaire (désigne électeurs(=1% de la pop. / désigne députés par Ass.)).
  • Renvoi de Necker par Louis 16

    Necker (ministre des finances populaire) est renvoyé.
    Perçu par la population comme un risque d’annonce d’augmentation d’impôts.
  • Création de la Garde nationale

    À Paris. Milice populaire, chargée de maintenir l’ordre indépendamment des troupes royales. Citoyens non payés. La Fayette nommé à la tête.
    Il invente les trois couleurs « bleu, blanc, rouge », qui sont alors l’emblème de la garde nationale. Une milice à chaque municipalité.
  • Prise de la Bastille

    Bastille : prison d’État gardée par 80 soldats invalides + 30 garde suisses. Symbole de l’arbitraire royal d’emprisonnement. 7 détenus. Exaspération à Paris : pillage d’armureries aux Invalides.
    Bastille : Parisiens au pied de la tour voient mvmt des canons. Pensent qu’ils sont en train d’être chargés (malentendu).
    -> Prise de la Bastille + tête du gouverneur (de Launay) coupée et portée. Palloy « démolisseur de la Bastille » : Travaux de démolition de la B. (700 à 900 ouvriers + volontaires).
  • Rappel de Necker et retrait des troupes de Paris

    Avril–juillet 1789 : colère populaire mais répression.
    Hostilité du roi au mouvement révolutionnaire : concentration des troupes autour de Paris (foyer de révoltes). Cette concentration conduit les parisiens à se préparer à se défendre face à une potentielle attaque armée de Paris par les troupes du roi. 15 juillet : Louis 16 retire les troupes concentrées autour de Paris. Louis XVI rappelle Necker.
  • Réception de la cocarde tricolore par le roi

    Obligation de venue du roi à Paris. Louis 16 est reçu à l’hôtel de ville par le nouveau et 1er maire de Paris (Bailly), en présence de La Fayette. Demande de Bailly : le Roi accepte de placer sur son chapeau un ruban bleu et rouge, à côté de la cocarde blanche (qui symbolise le commandement des armées au nom du roi). C’est la cocarde tricolore. L’emblème tricolore (le bleu blanc rouge) s’impose comme symbole de la France entrée en Révolution.
  • Period: to

    Grande Peur

    Troubles frumentaires (nutrition) : mécontentement dans villes de province, puis campagne + rumeur que nobles paierait des brigands pour détruire les collectes (sous Roi). Alors, Révolution paysanne :
    Grpes de paysans attaquent châteaux de nobles (historiens : Bastilles de la féodalité). Qlq château incendiés. Surtout châteaux violés pour détruire droits seigneuriaux (chartres). Députés à Versailles : info. impression situat. insurrectionnelle « pays en feu », « tous les châteaux brûlent ».
  • Adoption de l’abolition des privilèges

    Nuit, l’Assemblée : présentat. par les députés du club breton (pré-club des Jacobins) de décrets :
    abolition des corvées (= 1 journée oblig. de travail du paysan non payée) / revente droits seigneuriaux / abolition dîme (1/10e des récoltes à l’évêque du diocèse) / abolition de la main morte (taxe serf pour faire hériter) / fin vente des offices / égalité accès emplois / justice gratuite / égalité impôts / abolition versements de pension. Louis 16 promulgue pdt journées du 5, 6 octobre (1789).
  • Rédaction de la DDHC

    47 projets proposés pour la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (pas tous au sein de l’Assemblée nationale constituante). Influence de Déclaration des droits de l’homme américaine (1776). Son auteur (Jefferson) est à Paris. La Fayette (participé guerre d’indépendance USA) rédige un texte pour la DDHC française sous forme d’articles et lui demande son avis. Bcp de libertés, droits et devoirs énoncés. La souveraineté au peuple constitué en Assemblée nationale. 17 articles adoptés.
  • Journée du 5 octobre

    Banquet donné aux soldats royaux à Versailles alors que petit peuple de Paris est soumis à la pénurie.
    + refus du Roi de l’abolition privilèges. Création d’un cortège : ménagères et bourgeoises.
    6000 à 7000 femmes + qlq hommes dont deux héros prise de la Bastille (Hulin et Maillard).
    1. Départ de la halle de Paris. Prise des canons du Châtelet. Prise de la route de Versailles.
    2. Pénétration dans l’Assemblée nationale à Versailles. Interpellation des députés et demande de pain à la tribune.
  • Journée du 6 octobre

    Invasion du château de Versailles. Marie-Antoinette menacée, massacre de gardes du corps. Louis 16 apparaît au balcon du château avec la famille royale et La Fayette (donc la garde nationale).
    Le roi annonce le retour de la famille royale à Paris. Le président de l’assemblée (Mounier) obtient du roi qu’il signe les décrets d’abolition des privilèges. Un long cortège populaire ramène la famille royale à Paris.
    Versailles est définitivement délaissé par le pouvoir.
  • Désacralisation du roi dans la loi

    Décret des députés que Louis XVI sera désormais appelé « roi des Français » au lieu de « roi de France ». Symbole important : le roi ne dirige plus un royaume constitué de sujets privés de voix, il dirige dirige un Etat dont les Français sont des citoyens ayant des droits et étant libres de s’exprimer.
  • Adoption de la loi du 21 octobre

    Crainte des députés de la révolution populaire : de plus en plus d’émeutes liées à la situation économique (fin octobre : pendaison d’un boulanger).
    -Interdiction des attroupements / -Instauration de la loi martiale : maintien de l’ordre par l’armée qui a autorisation de tirer sur les manifestants (à la place de ou avec la police) / -Instauration de la peine de mort pour les fauteurs de troubles. La loi promulguée par Louis XVI. Reste en vigueur jusqu’à la fin de la monarchie constitutionnelle.
  • Nationalisation des biens de l’Église

    [Jour pas important] La dîme était un revenu revenu majeur pour l’Église (abolie avec l’abolition des privilèges). Novembre 1789 : nationalisation des biens de l’Église. Décision proposée par l’évêque Talleyrand. L’argent récupéré par l’État permet de salarier les hommes d’église. L’Église devient une institution de l’État.
  • Création de la Constitution civile du clergé

    [Jour pas important] Adoption du décret de la Constitution civile du clergé par l’Assemblée nationale constituante.
  • Fête de la Fédération

    1er anniversaire de la prise de la Bastille.
    A lieu sur le Champ-de-Mars de Paris.
    100 000 personnes réunies dont Roi et des députés.
    Décidée par l’Assemblée nationale sur proposition de La Fayette.
    Prend modèle sur la fête civique de Lyon (mai 1790).
    C’est la première célébration publique des trois couleurs (bleu blanc rouge), qui sont désormais considérées par les révolutionnaires comme l’emblème de la France révolutionnaire. Louis XVI prête serment de fidélité à la nation et la loi (autel).
  • Fuite du roi

    Famille royale ressentie prisonnière à Paris :
    -Interdit au Roi par un décret de l’assemblée de s’éloigner du lieu de ses séances, aux Tuileries (pas Pâques à Saint-Cloud).
    Projet de passer à l’étranger (reine).
    Nuit du 20 juin : la famille royale quitte les Tuileries dans une grosse berline. Les organisateurs : le comte Fersen et le duc de Bouillé (commandant armée au Nord).
    Objectif : Aller au Pays Autrichiens rejoindre les troupes de Bouillé et l’archiduc d’Autriche (frère Marie-Antoinette).
  • Découverte de la fuite du roi

    Matin : découverte de la fuite du roi. La Fayette (responsable de la surveillance du palais) + des députés veulent faire croire à l’enlèvement du roi pour sauver leur construction politique en évitant de discrédit définitif du roi.
    Mais la déclaration laissée par Louis XVI est lue à l’Assemblée. Dedans, il y dénonce le régime préparé par l’Assemblée.
  • Period: to

    Arrestation du roi à Varennes

    Nuit : le roi est reconnu à Sainte Menehould par Drouet.
    La famille royale est arrêtée à Varennes (qlq km de la frontière). Un cortège ramène le roi à Paris. Roi : objet de manifestations de désapprobation. Situation tentée d’ê normalisée par La Fayette et le triumvirat (sont attachés au projet de monarchie constitutionnelle (Constitution adoptée en sept. 1791)) :
    -Font promettre Louis 16 de soutenir le régime
    -Écartent la proposition d’un jugement du Roi à l’Ass.
    -Brouillé est bouc émissaire
  • Fusillade du Champ-de-Mars

    Pétition cordelière : ne reconnaît aucun roi et demande qu’une nouvelle Assemblée constituante soit convoquée.
    Ils doivent se retrouver sur le Champ-de-Mars le 17 juillet. Matin : 5000 à 6000 manifestants.
    Bailly (maire de Paris) se réfère à la loi martiale et ordonne la fin du rassemblement. La garde nationale tue 50 personnes. C’est la première fois que des autorités de la Révolution tirent sur le peuple. Bailly démissionne. Les jours suivants : membres des cordeliers sont arrêtés ou fuient.
  • Vote de la Constitution de la monarchie constitutionnelle

    Roi l’accepte le 13 septembre. Adoptée après 1,5 ans de débats : factions ds les députés (=divisions).
    1. Patriotes (majorité) : 1 Assemblée / droit de veto suspensif Roi.
    2. Monarchiens : 2 Chambres (comme anglais) / droit de veto absolu du Roi.
    3. Monarchiste (minorité) « Les Noirs » : pas de changement. Vote : pv exécutif au « Roi des français » / pv législatif à l’Assemblée.
    Roi forme gouv. (6 ministres) / s’occupe du nominat / veto suspensif 4 ans.
    Ass. (745 dép) propose et vote la loi.
  • Louis XVI prête serment à la Constitution

  • Period: to

    Monarchie constitutionnelle

    Du 14 septembre 1791 au 10 août 1792.
  • Première séance de l’Assemblée Législative

    Les députés de l’Assemblée nationale constituante se sont déclarés non rééligibles. (Restent en politique : Robespierre s’affirme au club des Jacobins par ex). Nouvelle Assemblée : Législative.
    -À droite de l’assemblée : les « Feuillants » (1/3 des députés) / -Au centre : Les « Indépendants » ou « Constitutionnels » (1/3 des députés. Soutiennent les « Feuillants ») / -À gauche : les « Jacobins » (membres du club. 1/4 des députés. Réticents face au régime)
  • Déclaration de guerre de la France à l’Autriche

    Guerre aussi déclarée à la Prusse (liée à l’Autriche depuis la déclaration de Pillnitz). Selon la Constitution, seul le roi peut déclarer la guerre. Louis 16 la déclare, espérant faire chuter la Révolution. Dans les députés de l’assemblée législative, bcp sont partisans de la guerre. Ils pensent que la Révolution doit répondre à la provocation étrangère et être un exemple en Europe.
    Certains députés sont hostiles à la guerre : Marat et Robespierre (+lui craint dictatu. militaire de La Fayette)
  • Invasion des Tuileries

    Jour de l’anniversaire du Serment du Jeu de Paume et de la fuite royale à Varennes. Une foule armée envahit les Tuileries pour réclamer au roi le retrait de son veto. Le Roi est contraint de porter le bonnet phrygien (symbole sans culottes) et de lever son verre à la Patrie. Il ne cède toutefois pas ses deux vétos.
  • Rédaction du Manifeste de Brunswick

    Fin juillet : réception du Manifeste. Attribué au duc de Brunswick (Chef de l’armée prussienne) mais écrit par des nobles émigrés. Adressé au peuple de Paris. Publié dans Le Moniteur (journal du gouv.). Menace les Parisiens de répression forte s’il s’en prennent physiquement au roi ou à la reine.
  • Formation de la Commune Insurrectionnelle

    Nuit : Des délégués des sections parisiennes (groupements politiques de chaque quartier) forment une Commune Insurrectionnelle. Ils réclament la déchéance du roi. Elle incarne la puissance du petit peuple révolutionnaire.
  • Assaut des Tuileries

    Sans-culottes parisiens et fédérés attaquent les Tuileries (contre gardes suisses) et envahissent la salle du Manège (Siège Assemblée), où est la famille royale.
    Ils ont des bannières « Patrie, Égalité, Liberté » et « Plus de Roi ».1000 morts. Sous pression populaire : Assemblée vote la convocation d’une Convention nationale (décidé élue au suffrage universel masculin à 21 ans) / la révocation des ministres feuillants / la suspension du roi. Conseil exécutif provisoire de 6 membres doit gouv.
  • Period: to

    Massacres de septembre

    Soulèvement d’une foule parisienne face à des peurs :
    1. Réelles (l’invasion ennemie) / 2. Moins concrètes (un vaste complot de l’intérieur). Vacance du pouvoir : l’Assemblée législative est vouée à disparaître, et le Conseil exécutif provisoire (dominé par Danton, ministre provisoire de la justice) laisse faire.
    La Commune de Paris encourage les massacres. Massacre de 1500 prisonniers : 300 ecclésiastiques + aristocrates et prisonniers de droit commun.
  • Victoire à Valmy

    Nouvelle armée : composée de volontaires défendant la patrie/nation.
    Cette armée française arrête les prussiens à Valmy. Bataille peu importante (500 morts) mais symbolique : l’invasion de la France est stoppée et la révolution provisoirement sauvée.
  • Abolition de la monarchie par la Convention

    La Convention (749 députés) nouvellement réunie officialise l’abolition de la royauté en France par un décret : Décret de la Convention abolissant la royauté. Dedans : Mention de l’An premier de la République française (Par Monge et Danton (membres du Conseil exécutif provisoire)).
  • Period: to

    Convention girondine

    Du 21 septembre 1792 au 2 juin 1793.
  • An I de la République

    1792 : désir de révolution du temps. Décret de la Convention décide que tous les actes publics seront datés de l’An I de la République, celui-ci débutant le 1er janvier 1792.
    Cette date n’est pas jugée satisfaisante, car le Roi était encore au pouvoir. La Convention confie à un grp. de travail dirigé par Gilbert Romme la refonte radicale du calendrier.
    L’an I de la République est marqué débutant le 22 septembre (date réelle du passage en République). Jour de l’équinoxe d’automne (égalité j/n).
  • Exécution de Louis 16

  • Décision de la levée en masse

  • Period: to

    Gouvernement d’exception

  • Period: to

    1er Comité de salut public

  • Vote de la loi du premier maximum

  • Élimination des Girondins à l’Assemblée

    Cours
  • Adoption de la Constitution de la Ire République

  • Period: to

    Convention montagnarde

    Du 24 juin 1793 au 27 juillet 1794 ( ou 9 thermidor An II ).
  • Period: to

    Grand Comité de salut public de l’An II

  • Mise en place de la Loi des Suspects

  • Loi du maximum général

  • Exécution de Marie-Antoinette

  • Fête de l’Être suprême

    Culte de l’Être suprême pensé par Robespierre. Il est inquiet des effets néfastes de la déchristianisation sur la pop.
    Printemps 1794 (An II) : il propose à la Convention de proclamer l’existence de l’Être suprême et la croyance en l’immortalité de l’âme (Adopté). 8 juin (20 prairial) : Fête de l’Être suprême (la plus importante). Cortège officiel (députés, délégué de section, femmes, vieillards…) défile sur le Champ de Mars. À la fin : « Vive la République ».
    Succès (≠culte de la raison).
  • Period: to

    Convention thermidorienne

    Du 27 juillet 1794 au 26 octobre 1795.
  • La Marseillaise devient hymne national

    Par décret. Dans sa version à six couplets écrite par Rouget de Lisle en avril 1792. En novembre 1793, elle recevait le statut d’hymne de la République.
  • Coup d’État du 18 fructidor An V