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Period: to
Joachim Barrande
Connu pour ses travaux sur les faunes paléozoïques,notamment, de 1852 à 1872, avec le système siluien du Centre de la Bohême. S'intéresse à la succession faunique et pas des espèces, positiviste qui rejette le transformisme. Il voit des apparitions brusques, pas de progression régulière. -
Period: to
Alcide d'Orbigny
Eut la chaire de paléontologie du MNHN, rejette le progressisme promut par le darwinisme. Fixiste et catastrophiste. -
Period: to
Adolphe d'Archiac
Successeur d'Orbigny à la chaire de paléontologie du museum. Anticatastrophiste, soutient la continuité des phénomènes organiques. Pense que la paléontologie peut reconstituer l'histoire de la Terre, mais il ne voit pas de transition entre les formes. -
Period: to
Paul Gervais
S'affranchit du paradigme cuviérien au bout d'un long moment. En 1859 il est encore "fixiste", en 1868 il croit en l'évolution mais pas au darwinisme, et en 1877 il pense à la filiation des espèces. Il croit ensuite en l'évolution, mais pas au darwinisme. -
Period: to
Gaston de Saporta
Pas de formation académique. S'intéresse ç la paléobotanique et devient correspondant de l'Académie des Sciences en 1876. Il collabore avec Gaudry. Il entretient une correspondance avec Darwin. Publie "l'Evolution du Règne Végétal" de 1881 à 1_85 avec Antoine Fortuné Marion qui enseigne le transformisme à Marseille. -
Period: to
Albert Gaudry
lbert Gaudry (1827–1908) est une personnalité institutionnelle. Aide-naturaliste de son beau-frère Alcide d’Orbigny au Muséum en 1853, il finit Président de l’Académie des sciences en 1904 après avoir été nommé en 1872 professeur de Paléontologie au Muséum. Spécialiste des mammifères, il fouille en Grèce et dans le Lubéron. Conçoit et fait construire la Galerie de Pal du Museum (inaugurée en 1898). -
Period: to
Charles Depéret
Formalise les progrès conceptuels de la paléontologie évolutive née en Allemagne et en France. Fait un thèse de géologie, puis fonde en france la paléontologie stratigraphique évolutive. Publie en 1907 "Les transformations du monde animal". Il concrétise un divorce chez les paléontologue entre la reconstruction des lignées évolutives et celle des arbres phylogénétiques.