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Attentats à la bombe à Madrid
Ce jour-là, dans les environs de Madrid, 10 sacs à dos remplis d'explosifs ont explosé, provoquant la mort de 191 personnes. On note également 1800 blessés parmi les victimes. Deux jours plus tard, la police capturait les premiers suspects. Après trois semaines de recherche, ils réussirent à démanteler le noyau du réseau responsable des attaques. Un des rescapés, Mohamed Afallah, trouva la mort en mai 2005 lors d'une opération suicide en Irak. Al Qaïda est dans le collimateur du gouvernement. -
Trois attentats meurtriers à Rangoon, ex Birmanie
Ce jour-là, trois attentats meurtriers ont été provoqués presque simultanément à Rangoon, capitale de l'Union du Myanmar (ex Birmanie). Les explosions se sont produites à quelques minutes d'intervalle, aux alentours de 15 h (heure locale, soit 08:30 UTC), dans deux centres commerciaux très fréquentés (Junction-8 City Mart et Dagon Center) ainsi qu''au Yangon Trade Center, où se tenait une exposition consacrée exclusivement à la Thaïlande. Trois réseaux terroristes sont accusés, dont Al Qaïda. -
Attentats à la bombe dans les transports publics de Londres
Ce jour-là, quatre explosions ont eu lieu dans les transports publics de Londres, de 8h50 à 8h51 du matin. Ces trois attentats se sont succédés dans un intervalle de 50 secondes. Le bilan est dramatique: 50 morts et 700 blessés. Les terroristes qui ont fait exploser un autobus et des wagons de métro auraient reporté leurs attaques de 24 heures. Les kamikazes devaient programmer l'attentat le jour de l'annonce de l'attribution des Jeux Olympiques de Londres 2012. Ils faisaient parti d'Al Qaïda. -
Attentat en Algérie: les employés de l'ONU pris pour cible
Le bilan est accablant: 41 morts dont 17 employés de l'ONU, dans deux attentats suicide à Alger. L'organisation Al Qaïda au Maghreb islamique a revendiqué mardi soir sur un site islamiste les deux attentats. Avant cette revendicaiton, le gouvernement algérien avait déjà pointé du doigt l'ogranisation, ne faisant aucun doute de sa culpabilité. "Nous sommes sûrs que c'est l'œuvre du GSPC", avait indiqué Yazid Zerhoun. -
Attentat à la voiture piégée au Yémen
Au Yémen, un attentat à la voiture piégée a été provoqué contre l'ambassade des Etats-Unis à Sanaa. Le bilan est accablant: 16 morts dont 10 assaillants. L'exposion a été revendiquée par le Jihad islamique au Yémen, branche liée de manière directe à Al-Qaïda. Le mouvement terroriste est une fois de plus mis sur la touche. -
Attentat suicide au Pakistan
Un attentat suicide au camion piégé a été enclanché contre l'hôtel Marriott d'Islmabad. Les dégâts sont considérables: on relève 60 morts et 266 blessés au terme de l'explosion. Le mouvement terroriste islamiste Al-Qaïda est à l'origine de ces attaques. -
Tentative d'attentat-suicide d'un kamikaze
A bord d'un avion de la compagnie Northwest Airlines transatlantique (en direction de Détroit) un Nigérien kamikaze du non d'Umar Farouk Abdulmutallab essaye de faire sauter l'avion avec un explosif caché sous sa cuisse. Il est maîtrisé et blessé par l'explosif enflammé. Deux passagers ont été victimes de blessures. Al-Qaïda est pris pour cible dans cette affaire. -
Attentat suicide au Yémen
Ce jour-là, 23 personnes sont tuées dans un attentat suicide au nord du Yémen, contre une procession religieuse dans un fief de la rebéllion chiite. Cet attentat a été attribué à un chef tribal d'Al-Qaïda. -
Attentat à la bombe dans un café à Marrakech
Le bilan est dramatique: 17 personnes ont succombé à l'explosion: 8 français, 3 marocains, 2 suisses, 1 britannique, 1 canadien, 1 hollandais et 1 portugais. La bombe aurait été placée à l'avance puis déclenchée à distance à l'aide d'un téléphone mobile. Encore non revendiqué, l'attentat est attribué au groupe terroriste Al-Qaïda. -
Affaire Mohammed Merah
Les 7 meurtres imputés à Mohamed Merah, datant du 11 au 22 Mars 2012 à Toulouse et Montauban ont été revendiqués par Jund al Khalifa, une organisation proche de celle d'Al-Qaida au Maghreb islamique. Mohamed Merah lui-même aurait fait part de sa proximité avec le mouvement terroriste. Bernard Squarcini, directeur de la DCRI, a qualifié de peu vraisemblable l'appartenance de Merah à ce réseau,