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Period: to
Parti libéral du Québec
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Period: to
Parti progressiste-conservateur
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Period: to
Union nationale
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Period: to
Parti libéral du Canada
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Period: to
Parti libéral du Québec
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Charte de Victoria
En 1968, Pierre Elliot Trudeau annonce qu'il désire inclure une déclaration des droits de la personne à la Constitution canadienne. En 1970, un nouveau gouvernement, dirigé par Robert Bourassa, est élu au Québec. Le projet de rapatriement de la Constitution est relancé et il aboutit à l'adoption de la Charte de Victoria en 1971. Bourassa recule, il refuse de signer. La Charte de Victoria tombe dans l'oubli.
PM CAN: Pierre Elliott Trudeau
PM QC: Robert Bourassa
Rejeté -
Period: to
Parti québécois
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Référendum sur la souveraineté-association
Au Québec, René Lévesque devient le premier ministre du Québec après la victoire électorale du Parti québécois en 1976. Il (le Parti) veut que le Québec soit entièrement indépendant et se sépare du Canada. En 1980, René Lévesque fait un référendum sur la souveraineté-association. On demande à la population s'ils sont favorable à la souveraineté du Québec et une association économiques avec le Canada.
PM QC: René Lévesque
PM CAN: Pierre Elliott Trudeau
Rejeté: le camp du Non l'emporte (≈60%) -
Nuit des longs couteaux (entente constitutionnelle qui exclut le Québec)
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Rapatriement de la Constitution
À la suite du référendum de 1980, Pierre Elliot Trudeau veut modifier l'AANB. La Constitution demeurée à Londres depuis 1867, ne peut être modifiée que par le Parlement britannique à moins d'être rapatriée par le Canada. Chacune des provinces expose ses demandes. Due à la «Nuit des longs couteaux», le rapatriement se fait sans l'accord du Québec, René Lévesque refuse de signer le texte(ne respecte pas les demandes du QC).
PM QC: René Lévesque
PM CAN: Pierre Elliott Trudeau
Adopté unilatéralement -
Period: to
Parti libéral du Canada
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Échec de l’accord du lac Meech
Tentative pour réintégrer le Québec dans la Constitution canadienne. Robert Bourassa pose 5 conditions pour que le Québec accepte l'accord. Ces conditions doivent être acceptées par les assemblées législatives de toutes les provinces. Ces conditions sont acceptées par toutes les assemblées législatives, sauf celles du Manitoba et Terre-Neuve.
PM QC: Robert Bourassa
PM CAN: Brian Mulroney
Rejeté -
Period: to
Parti libéral du Canada
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Comission Bélanger-Campeau sur l'avenir du Québec
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Échec de l’accord de Charlottetown
Tentative #2 pour réintégrer le Québec dans la Constitution canadienne. L'accord de Charlottetown est le résultat de nouvelles négociations entre le premier ministre Mulroney et les gouvernements des provinces. L'accord fait l'objet d'un référendum dans tout le Canada en 1992. L'ensemble de la population canadienne rejette l'accord à 54%.
PM CAN: Brian Mulroney
PM QC: Robert Bourassa
Rejeté -
Period: to
Parti québécois
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Référendum sur la souveraineté
Au Québec, l'échec de l'accord de Charlottetown renforce le mouvement souverainiste. Jacques Parizeau, chef du Parti québécois prend le pouvoir et devient premier ministre en 1194. Il organise un référendum sur la souveraineté du Québec en 1995. Les Québécois doivent décider s'ils veulent que le Québec devient souverain après avoir négocié une entente économique avec le Canada.
PM QC: Jacques Parizeau
PM CAN: Daniel Johnson Jr.
Rejeté: le camp du Non l'emporte avec 50,6% des votes. -
Loi sur la clarté référendaire
En 1998, la Cour suprême du Canada indique que le Québec ne peut pas créer un État indépendant. Toutefois si le résultat d'un vote en faveur de la souveraineté est jugé clair, la fédération canadienne doit négocier dans ce sens. Le gouvernement de Jean Chrétien adopte la Loi sur la clarté référendaire disant que toute négociation sur la souveraineté présuppose que le texte de la question référendaire et le résultat du vote doivent être clairs.
PM CAN: Jean Chrétien
PM QC: Lucien Bouchard
Adopté -
Scandale des commandites et Commission Gomery
Après 1995, le gouvernement fédéral instaure un programme de commandites visant à promouvoir le Canada auprès des Québécois. Des fonds publics considérables y sont investis. Des constats et des doutes émis sur la gestion irrégulière du programme oblige Paul Martin à mettre en place une Commission d'enquête (Commission Gomery) sur le programme. La commission doit faire lumière sur des soupçons de détournement de fonds par une facturation frauduleuse.
PM CAN: Paul Martin
PM QC: Jean Charest
Adop. -
Reconnaissance du Québec en tant que nation à la Chambre des communes (sous Stephan Harper)