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Création
Cinq jeunes créé L'ETA, Euskadi Ta Askatasuna: Pays Basque et Liberté. Ce sont des dissidents du parti nationaliste basque -
Premier attentat mortel
Un policier espagnol est tué, le crime est officiellement attribué au groupe ETA -
Premier enlèvement
Eugen Beihl, consul honoraire allemand est enlevé à Saint-Sébastien. Il a été séquestré à Soule par le groupe indépendantiste. -
Création Herri Batasuna
Herri Batasuna est crée, c'est la branche politique de l'ETA. -
Attentat à l'Hipercor de Barcelone
Cet attentat à la voiture piègée a été le plus meurtrier depuis le création d'ETA. 21 personnes sont mortes et 45 ont été blessées. Les deux reponsables de l'opération, Santi Potros et Rafael Caride Simon, ont été condamnés à 790 années et six mois de prison chacun. -
Cessez-le-feu
l'ETA déclare un "cessez-le-feu permanent" qui ouvre la voie à un processus de paix et entre en vigueur le 24. Cette trève ne durera que peu de temps. -
Rupture du cessez-le-feu
Aprés un attentat qui fera deux morts en janvier, Batasuna s'éloignera d'ETA. Le groupe armé rompera officiellement le cessez-le-feu le 5 juin. -
Reprise des hostilités
Un attentat à la fourgonette dans l'aéroport de Madrid tue deux personnes et blesse 19 autres. "Le processus n'est pas rompu. C'est quelque chose que nous voulons transmettre avec la clarté la plus absolue", a déclaré Arnaldo Otegi, leader de Batasuna. Il n'a pas non plus condamné cet attentat. -
Troisième mort en France
Un brigadier sera tué au cour d'une fusillade à Dammarie-les-Lys. C'est le troisième morts français dans la lutte d'ETA. Nicolas Sarkozy, alors Président de la République, se rendra dès le lendemain matin sur les lieux. -
Fin de la lutte armée?
ETA a annoncé le 5 septembre que le groupe avait mis un terme à ses offensives armées. -
Arrêt de la lutte armée
Le groupe basque ETA a annoncé la fin de leur lutte armée aprés 52 ans de combat pour l'indépendance de leur région. La lutte pour l'indépendance aura fait 829 victimes depuis sa création. -
Vers la dissolution
ETA a annonce dans un communiqué de presse, après la fin de la lutte armée, qu'il était prêt à négocier avec l'Espagne et la France, en vue d'une éventuelle « dissolution ». Le groupe armé a été affaibli par plusieurs arrestations de ses membres.
