Les négociations constitutionnelles_Millien_409

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    Parti progressiste-conservateur

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    Union Nationale

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    Parti libéral du Québec

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    Parti libéral du Canada

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    Union Nationale

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    Parti libéral du Québec

  • La charte de Victoria

    La charte de Victoria
    Cette charte constituait à une tentative que Pierre Elliott Trudeau, premier ministre du Canada à ce moment, essayait pour rapatrier la constitution canadienne et y ajouter une charte des droits et libertés. Daniel Johnson, qui était premier ministre du Québec lors de cette évènement, exigeait une meilleur reconnaissance des droits de la province dans la constitution. Le reste des provinces et les fédéraux refusaient de satisfaire sa demande. La charte a été aboutit.
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    Parti progressiste-conservateur

  • Référendum sur la souveraineté-association

    Référendum sur la souveraineté-association
    René Lévesque, le nouveau premier ministre du Québec en 1976, fait un référendum pour que sa province devienne un pays et soit uniquement liés économiquement au Canada. Lévesque et son parti québécois, étant souverainistes, sont pour le camp du «Oui» qui est pour l'inpendantisme du Québec. Pierre Elliot Trudeau, le premier ministre du Canada, quant à lui est avec le camp du «Non» qui est pour le fédéralisme. Le camp du «Non» l'emporte à 56,8%, ce qui amène le rejet du projet.
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    Parti libéral du Canada

  • Le rapatriement de la constitution

    Le rapatriement de la constitution
    Pierre Elliott Trudeau, premier ministre du Canada à cette époque, veut modifier l'AANB en rapatriant la constitution. Lévesque, premier ministre actuel du Québec dans cette évènement, refuse de signer le texte qui respecte les autres provinces sauf la sienne. Le rapatriement se fait unilatéralement malgré le refus de Lévesque.
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    Parti progressiste-conservateur

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    Parti libéral du Québec

  • L'accord du Lac Meech

    L'accord du Lac Meech
    L'accord a été une tentative de réintégrer le Québec dans la Constitution canadienne. Le premier ministre du Québec dans ce temps a été Robert Bourassa. Le ministre du Canada lors de l'accord du Lac Meech a été Brian Mulroney. Finalement, après que toute les provinces sauf le Manitoba et Terre Neuve aient accepter l'accord il a été refuser.
  • L'accord de Charlettetown

    L'accord de Charlettetown
    Bourassa, premier ministre du Québec, veut faire paraître ses exigences envers Brian Mulroney, premier ministre du Canda, avec cette accord. Bourassa considère sa province d'avoir un caractère distinct par rapport aux autres provinces ce qui mériterait des règles particuliers pour le Québec. L'accord que Bourassa a essayé de faire valoir aux fédéraux a officiellement été refuser en 1992 avec un rejet de 56%.
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    Parti libéral du Canada

  • Le référendum sur la souveraineté

    Le référendum sur la souveraineté
    Après l'élection de Jacques Parizeau et de son parti québécois, les intentions souverainistes surgissent de nouveau. Le camp du Oui composer du gouvernement provincial du Québec et du bloc québécois, en chef Lucien Bouchard, sont en opposition à Ottawa. Contrairement au parti libéral avec Daniel Johnson et Jean Chrétien, le premier ministre du Canada, qui sont pour le rapatriement du Québec au sein du pays. Le camp du Non l'emporte à 50,6% ce qui rejette le référendum.
  • Loi sur la clarté référendaire

    Loi sur la clarté référendaire
    Un projet de loi permettant à la Cour suprême du Canada de clarifier la demande dans son avis sur le transfert du Québec Il stipule que toute négociation sur la souveraineté présuppose que le texte du référendum et le résultat du vote doivent être clair. Le premier ministre du Canada dans ce temps a été Jean Chrétien. De plus, dans les années 2000, le premier ministre du Québec a été Lucien Bouchard. Chrétien adopte la loi.
  • Le scandale des commandites et Commission Gomery

    Le scandale des commandites et Commission Gomery
    Autrefois craintif d'un autre référendum par le Québec, le parti libéral versa des fonds publics pour un programme de commandites qui promouvrait le Canada auprès du Québec. Paul Martin, premier ministre actuel du Canada en 2003, se rend contre de gestion irrégulière ce qui met en place la Commission Gomery. Cette enquête révèle le scandale que les libéraux on fait pour amadouer le Québec en versant des fonds illégalement. Lors de la commission Jean Charest était au pouvoir du Québec.