Histoire de la traduction

  • 1819 BCE

    XIXe siècle, siècle des traductions littérales

    Goethe distingue un cycle de trois sortes de traduction.
    La première se limite à transmettre l'œuvre telle qu'elle est dans la langue originale.
    La deuxième présente l'œuvre de telle sorte qu'elle paraît avoir été composée dans la langue de la culture réceptrice.
    La troisième est une synthèse des deux précédentes.
  • 1711 BCE

    xvIIIe siècle

    xvIIIe siècle
    MmeDacier et Antoine Houdar de la Motte. Seconde querelle des Anciens et des Modernes.
    Houdar de la Motte distingue les traductions « littérales », comme celle, en prose, de MmeDacier (1711), et les « imitations élégantes », qui « tiennent le milieu entre la traduction simple (littérale) et la paraphrase2 ».
  • 1680 BCE

    L'époque contemporaine.

    Dryden donne une définition de la traduction résolument moderne dans son rejet de l'imitation.
    En 1680, dans sa préface à Ovid's Apisï/es.
  • 1634 BCE

    Les xVIIe et xVIIIe siècles

    Les xVIIe et xVIIIe siècles
    Nicolas Perrot d'Ablancourt. Mettront les considérations esthétiques au premier plan en matière
    de traduction. La fidélité et la littéralité sont subordonnées au respect du style de la langue classique.
    On ne sera donc pas étonné de voir les traduc- tions se plier au goût classique et devenir de Belles Infidèles.
  • 1603 BCE

    John Florio

    John Florio
    La traduction des "Essais de Montaigne" par John Florio (1603)
    Mots par Mots.
  • 1579 BCE

    Thomas North

    Thomas North
    La plus célèbre des traductions "la traduction de Plutarque" par Thomas North, Lives of the Noble Grecians and Romans (1579). North effectue la traduction des Vies parallèles de Plutarque par Amyot. Pratique courante à l'épo- que : par rapport au latin et, à plus forte raison, au grec, le français était de loin la langue la mieux maîtrisée. La traduction de North, elle aussi, se voit accorder le statut d'œuvre littéraire.
  • 1540 BCE

    XVIIIe siècle

    XVIIIe siècle
    Le terme de « plagiat » ne devient péjoratif qu'au XVIIIe siècle. Les frontières entre imitation, traduction et adaptation varient en effet selon les époques.
    L'un des premiers théoriciens de la traduction à la Renaissance est Étienne Dolet à qui l'on doit en français le mot « tra- duction »
  • 323 BCE

    IIIer siècle 323 av J.C

    À partir de la mort d'Alexandre (323 av. J.-C.), le rayonnement de la civilisation hellénistique est si grand que le grec devient la langue dominante la Septante est traduite à Alexandrie tout naturellement de l'hébreu en grec.
  • 196 BCE

    IIIer siécle 196 av. J.-C

    IIIer siécle 196 av. J.-C
    La pierre de Rosette, est une traduction de l’égyptien en grec réalisée en 196 av. J.-C. dans l'Égypte ptolémaïque.
  • 46 BCE

    1er Siècle 46 av J.C

    1er Siècle 46 av J.C
    Cicéron
    Rome antique
    Ouvre "De optimo genere interpretandi (395)"
    Sens par Sens Cicéron dit que nous pouvons traduire sens par sens excepté la bible.
    Cicéron dis- tingue ainsi deux formes de traduction : au premier degré, ce que l'on pourrait appeler la traduction pro- prement dite, celle de l’« interpres » ; au deuxième degré, celle de l’« orateur »
  • 46 BCE

    IIIe siècle 46 av. J.-C.,

    IIIe siècle 46 av. J.-C.,
    Les traductions effec- tuées par les Romains remontent au IIIe siècle av. J.-C., avec Livius Andronicus, premier traducteur européen connu.